Présentation des factions

Red Line :

Une faction marxiste-léniniste et néo-stalinienne, la Ligne Rouge est le refuge des nostalgiques soviétiques et des anciens membres vieillissants du PCUS et du Komsomol. Dirigée par son Maréchal, le Parti communiste garde le contrôle comme à l'époque de Staline - à travers un programme de censure, de répression politique et sociale et de réseaux d'espions et d'informateurs. Les Rouges occupent la plus grande base du milieu d’un côté du pont de bataille face au IVe Reich et possèdent la plus grande population et le plus grand territoire du métro. Tout comme l'armée soviétique de la Seconde Guerre mondiale, la Ligne Rouge s'appuie sur une armée de conscrits massive, mais mal entraînée et équipée. Sur les 15 000 citoyens de la Ligne, 6 000 à 7 000 servent dans les forces armées, engagés dans une lutte constante contre les néonazis du IVe Reich.

Ranger :

Une organisation paramilitaire considérait comme les protecteurs du métro, les Rangers, également connus sous le nom de Spartans, s'aventurer dans le métro et à la surface, éliminant les mutants et les bandits qui s'attaquent aux faibles. Bien que neutres, ils maintiennent des liens étroits avec Polis (lui-même un pouvoir neutre), avec de nombreux membres de la ville. Ils ne possèdent pas de stations d'habitation, au lieu d'occuper la base de Sparte, et le bunker D6. Leur chef, le Colonel, applique une politique de «si elle est hostile, vous la tuez», qui a bien servi les Rangers jusqu'à présent. De nombreux membres étaient auparavant des forces spéciales russes ou militaires, formation qui a aidé les Rangers à se faire une réputation de combattants les plus redoutables du métro. Environ 250 hommes et femmes peuvent revendiquer l'honneur d'être spartiates, avec 100 dans le domaine à tout moment.

Reich :

Une faction d'extrême droite inspirée par les idées et les politiques d'Adolf Hitler et son Troisième Reich. Dirigé par le Führer et formé autour d'un noyau de néonazis et de xénophobes d'avant-guerre, le Reich s'efforce de construire un nouvel ordre, envisageant un métro sans mutants et non-russes. A cette fin, ils utilisent des instruments et des techniques spécifiques (sur le modèle de celles de l'Allemagne hitlérienne) pour s'assurer que les «normes» génétiques soient respectées par tous les habitants et les voyageurs du Reich. Bien qu'ils occupent de nombreuses autres stations et bases à la surface. Dans un état de guerre perpétuelle avec leurs opposés politiques, la ligne rouge marxiste-léniniste, le Reich possède une armée de 2.000 à 3.000 hommes. Préférant (en partie en raison de leur faible population) de qualité à quantité, les soldats du Reich sont nettement mieux équipés et entraînés d'un homme à l'autre que leurs homologues rouges plus nombreux, situation qui est clairement parallèle au front de l'Est de la Seconde Guerre mondiale.

Hanza :

Cette faction est un ensemble de stations dirigées par le Prime Minister et occupant la station du fond du métro. Hanza est la faction la plus influente du métro. Occupant ce qui pourrait être considéré comme la «jugulaire» de l'ensemble du système de métro, le commerce de chaque station et faction du métro passe par les postes de contrôle Hanza. Pour protéger sa souveraineté, sa sécurité et ses revenus commerciaux, Hanza possède une force puissante de 4000 à 5000 soldats. En dépit de cet ensemble impressionnant, Hanza reste quelque chose d'un spectateur passif à la lutte dans les tunnels, préférant utiliser des sanctions et des menaces lorsque cela est nécessaire pour protéger les intérêts du Commonwealth.